· Marcus Adetola · Reviews

Vendredi sur Mer Evokes Alpine Nostalgia on Malabar Princess

<p>Vendredi sur Mer’s “Malabar Princess” is a nostalgic French pop ode to memory, loss, and quiet longing.</p>
Vendredi sur Mer Malabar Princess album cover
Vendredi sur Mer Malabar Princess album cover

With Malabar Princess, Swiss singer-songwriter Vendredi sur Mer unpacks memory like a well-worn suitcase.

The title track from her forthcoming album offers a delicate blend of 80s-tinged synth-pop and poetic melancholy, with soft, near-whispered vocals flowing over sparse piano notes before blooming into a dreamy, groove-laced arrangement.

J’suis pas assez forte pour oublier / Oublier les vallées qui me tordent(“I’m not strong enough to forget / Forget the valleys that twist me”), she confesses early on, setting the tone for a song that is equal parts tribute and unraveling.

The lyrics drift through longing and emotional displacement, evoking landscapes that are as internal as they are geographic.

There’s a yearning wrapped in her delivery that feels suspended between memory and fantasy.

Et maintenant qu’elles sont loin / Si souvent, j’y reviens” (“And now that they’re far / So often, I return”), is repeated like a quiet loop of remembrance—less repetition, more ritual. A tether to a Switzerland she can’t quite reach but can’t let go of either.

The production is steeped in warm synths and swirling echoes, but the emotional weight rests in her voice—delicate, unsure, yet quietly resolute. A return to softness, but never fragility.

Stream Malabar Princess now and let it take you somewhere quiet.

You might also like:

Vendredi sur Mer Malabar Princess Lyrics

J’suis pas assez forte pour oublier 
Oublier les vallées qui me tordent
Je passe ma vie à les imaginer 
Sans pour autant pouvoir faire de l’or

Je ne sais plus par quel chemin les retrouver 
Ces montagnes et ces vallées que j’adorais 
C’est comme si le vent les avait parsemés 
Dans chaque endroit où je décide d’habiter 
Je ne sais plus par quel chemin me retrouver 
J’ai le cœur en miettes, les idées épuisées
Tout est vide et moi je finis par sombrer 
Dans ce blanc où tout à coup j’ai déraillé 

Et maintenant qu’elles sont loin
Si souvent, j’y reviens

Pas la peine de crier 
L’écho me revient 
Et maintenant qu’elles sont loin
Si souvent, j’y reviens 
Si souvent j’y reviens 
J’ai volé au-dessus 
De ces villages ???

Je suis pas assez forte pour rejouer 
Rejouer les cartes dans le bon ordre 
Je passe mes nuits à tout remélanger 
Comme s’il fallait tirer sur la corde 

Je ne sais plus par quel chemin les retrouver 
Ces montagnes, ces vallées que j’adorais
C’est comme si le vent les avait parsemées 
Dans chaque endroit où je décide d’habiter 
Je ne sais plus par quel chemin me retrouver

J’ai le cœur en miettes, les idées épuisées 
Tout est vide, moi je finis par sombrer 
Dans ce blanc où tout à coup j’ai déraillé 

Et maintenant qu’elles sont loin
Si souvent, j’y reviens 
Pas la peine de crier 
L’écho me revient 
Et maintenant qu’elles sont loin
Si souvent, j’y reviens 
J’ai volé au-dessus 
De ces villages ???

Et maintenant qu’elles sont loin
Si souvent, j’y reviens 
Pas la peine de crier 
L’écho me revient 
Et maintenant qu’elles sont loin

Si souvent, j’y reviens 
J’ai volé au-dessus 
De ces villages ???

L’écho me revient
l’écho, l’écho me revient
l’écho, l’écho me revient
l’écho, l’écho me revient
l’écho, l’écho me revient

A mes démons 
À mes envies de jeunesse 
Je finirai par me crasher
Comme le Malabar-Princesse

    Share: