Vendredi sur Mer Evokes Alpine Nostalgia on Malabar Princess


With Malabar Princess, Swiss singer-songwriter Vendredi sur Mer unpacks memory like a well-worn suitcase.
The title track from her forthcoming album offers a delicate blend of 80s-tinged synth-pop and poetic melancholy, with soft, near-whispered vocals flowing over sparse piano notes before blooming into a dreamy, groove-laced arrangement.
“J’suis pas assez forte pour oublier / Oublier les vallées qui me tordent” (“I’m not strong enough to forget / Forget the valleys that twist me”), she confesses early on, setting the tone for a song that is equal parts tribute and unraveling.
The lyrics drift through longing and emotional displacement, evoking landscapes that are as internal as they are geographic.
There’s a yearning wrapped in her delivery that feels suspended between memory and fantasy.
“Et maintenant qu’elles sont loin / Si souvent, j’y reviens” (“And now that they’re far / So often, I return”), is repeated like a quiet loop of remembrance—less repetition, more ritual. A tether to a Switzerland she can’t quite reach but can’t let go of either.
The production is steeped in warm synths and swirling echoes, but the emotional weight rests in her voice—delicate, unsure, yet quietly resolute. A return to softness, but never fragility.
Stream Malabar Princess now and let it take you somewhere quiet.
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Vendredi sur Mer Malabar Princess Lyrics
J’suis pas assez forte pour oublier
Oublier les vallées qui me tordent
Je passe ma vie à les imaginer
Sans pour autant pouvoir faire de l’or
Je ne sais plus par quel chemin les retrouver
Ces montagnes et ces vallées que j’adorais
C’est comme si le vent les avait parsemés
Dans chaque endroit où je décide d’habiter
Je ne sais plus par quel chemin me retrouver
J’ai le cœur en miettes, les idées épuisées
Tout est vide et moi je finis par sombrer
Dans ce blanc où tout à coup j’ai déraillé
Et maintenant qu’elles sont loin
Si souvent, j’y reviens
Pas la peine de crier
L’écho me revient
Et maintenant qu’elles sont loin
Si souvent, j’y reviens
Si souvent j’y reviens
J’ai volé au-dessus
De ces villages ???
Je suis pas assez forte pour rejouer
Rejouer les cartes dans le bon ordre
Je passe mes nuits à tout remélanger
Comme s’il fallait tirer sur la corde
Je ne sais plus par quel chemin les retrouver
Ces montagnes, ces vallées que j’adorais
C’est comme si le vent les avait parsemées
Dans chaque endroit où je décide d’habiter
Je ne sais plus par quel chemin me retrouver
J’ai le cœur en miettes, les idées épuisées
Tout est vide, moi je finis par sombrer
Dans ce blanc où tout à coup j’ai déraillé
Et maintenant qu’elles sont loin
Si souvent, j’y reviens
Pas la peine de crier
L’écho me revient
Et maintenant qu’elles sont loin
Si souvent, j’y reviens
J’ai volé au-dessus
De ces villages ???
Et maintenant qu’elles sont loin
Si souvent, j’y reviens
Pas la peine de crier
L’écho me revient
Et maintenant qu’elles sont loin
Si souvent, j’y reviens
J’ai volé au-dessus
De ces villages ???
L’écho me revient
l’écho, l’écho me revient
l’écho, l’écho me revient
l’écho, l’écho me revient
l’écho, l’écho me revient
A mes démons
À mes envies de jeunesse
Je finirai par me crasher
Comme le Malabar-Princesse